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Yvonne Cavalle-Reimers
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A Rome, Swiatek continue de marquer l’histoire : Iga Swiatek n’a pas notre temps. A 22 ans, elle est la patronne incontestée et incontestable du circuit WTA. Brillante, elle joue un tennis de très grande qualité, particulièrement sur terre battue. Après quatre matchs tranquilles, la numéro 1 mondiale a fait face à un premier gros test ce jeudi. Opposée à Coco Gauff (3e), elle y a répondu très favorablement. Bien que l’Américaine ait démarré le match pied au plancher en breakant d’entrée, Swiatek a utilisé toute sa science du jeu pour museler une adversaire encore un peu trop naïve (6-4, 6-3 en 1h47). Qualifiée, la Polonaise va donc vivre sa 25e finale en carrière, la 12e en WTA 1000. Il n’est pas certain que le grand public s’en rende bien compte mais ce que fait Swiatek a 22 ans est absolument historique. En 30 participations à des tournois de la catégorie, elle a donc atteint douze fois la finale (40% du temps). C’est simple, c’est le meilleur ratio depuis l’instauration du format en 2009, même Serena Williams ne fait pas mieux (37%, soit 18 finales en 49 participations). Bien consciente d’écrire l’histoire de son sport, la numéro 1 mondiale explique vouloir prendre de la distance avec les chiffres : “Honnêtement, je n'y pense pas vraiment, car c'est déjà beaucoup. Je vis ma vie au jour le jour. Je ne pense pas aux statistiques ou à l'histoire. Je pense que c'est plus facile ainsi. Cela vous permet de jouer de manière plus détendue et plus libre. Je vais juste essayer de jouer le meilleur tennis possible en finale. Si j'y vais doucement et pas à pas, je pense que ce sera mieux que si je pense déjà à la victoire. Le chemin est encore long. Il y a encore beaucoup de travail à faire.” Irrésistible, Swiatek visera donc un 21e titre en carrière ce samedi, performance qui la mettrait dans des dispositions parfaites en vue de Roland-Garros. En finale, elle pourrait bien retrouver, comme à Madrid, Sabalenka, à moins que Collins ne vienne gâcher la fête.
Face à Sabalenka, Collins sait ce qui l’attend : “Il n’y aura pas beaucoup de surprises dans ce match” Danielle Collins ne cesse de bluffer son monde en 2024. Depuis qu’elle a annoncé qu’elle mettrait fin à sa carrière à l’issue de la saison, elle se montre inarrêtable (19 victoires en 20 matchs). Si elle veut pouvoir atteindre la finale, l’Américaine va, cela dit, devoir surmonter une sacrée montagne prénommée Aryna Sabalenka. Face à la numéro 2 mondiale, Collins ne s’est jamais imposée (en 5 matchs) bien qu’elle ne soit pas passée loin de la victoire à Madrid (6-4, 4-6, 6-3). Questionnée sur cette revanche à venir (ce jeudi, pas avant 20h30), Collins sait à quoi s’attendre, à savoir un gros combat. Ainsi, dans des propos relayés par Tennis Channel, elle explique : “Il n’y aura pas beaucoup de surprises dans ce match. Nous nous sommes affrontées il y a très peu de jours, mais je vais quand même jeter un œil à certains matchs du passé. Nous avons toujours eu une grande rivalité. Il y a eu des matchs qui se sont décidés par de petits détails. La plupart du temps, il s’agissait de batailles en trois sets. Elle a très bien joué, elle est l’une des meilleures au monde, actuelle n°2. Je vais devoir revenir sur le court avec le feu allumé.”
Au physique, Paul rejoint les demi-finales à Rome On connaît désormais le nom du troisième qualifié pour les demi-finales en Italie. Après les qualifications d’Alejandro Tabilo et d’Alexander Zverev hier, c’est Tommy Paul qui a obtenu son sésame ce jeudi. Opposé à un Hubert Hurkacz bien plus friable qu’à l'accoutumé, l’Américain s’en est sorti au terme d’un duel de 2h42 (7-5, 3-6, 6-3).   Dans un match où les deux hommes se sont révélés très tendus et où le niveau de tennis n’a pas toujours été très élevé (85 fautes directes à eux deux), c’est finalement le 16e mondial qui a eu les nerfs les plus solides. Entamant son match avec une belle intensité et profitant des errements du Polonais, Paul a réussi, malgré quelques inconstances qui auraient pu lui coûter cher, à composter son billet pour les demi-finales.  De son côté, le numéro 9 mondial s’est montré dans un jour plutôt sans, notamment au service. Hurkacz, généralement considéré comme le meilleur serveur de la planète, a en effet été très peu efficace derrière sa mise en jeu. Concédant son engagement à sept reprises, le Polonais n’a pas pu compter sur autant de points gratuits qu’à l’accoutumée et a donc dû beaucoup plus travailler à l’échange. Visiblement un peu émoussé physiquement, le joueur de 27 ans a finalement craqué sous les coups de boutoir d’un adversaire, bien plus frais physiquement.  Pour Tommy Paul, cette victoire est très précieuse et lui permet de confirmer son nouveau statut. Demi-finaliste à l’Open d’Australie 2023, il confirme cette saison avec une deuxième demi-finale en Masters 1000, après celle jouée à Indian Wells. Malgré plusieurs baisses de niveau, c’est assez logiquement que l'Américain est sorti vainqueur de ce duel.  Pour une place en finale, il affrontera le vainqueur du match entre Stefanos Tsitsipas et Nicolas Jarry.
Face à la polémique des Wilds Cards, Mpetshi Perricard la joue profil bas : “Je ne sais pas si je l’ai méritée” Ce mardi, Roland-Garros a publié la liste des joueurs et joueuses bénéficiaires d’une invitation. Cette annonce, très attendue, a fait beaucoup réagir. En effet, plusieurs joueurs et joueuses de marque n’ont pas été invités (Dominic Thiem, Diego Schwartzman, Simona Halep, Emma Raducanu). Parmi ces joueurs, c’est tout particulièrement la non-invitation de Dominic Thiem qui a fait réagir. Pour rappel, l’Autrichien, titré à l’US Open et double finaliste à Paris, a annoncé qu’il prendrait sa retraite à l’issue de la saison. Ainsi, beaucoup de fans et de suiveurs s'attendaient à ce qu’il reçoive une invitation pour Roland-Garros. Ce ne sera donc pas le cas. Parmi les heureux Français choisis par l’organisation, on compte entre autres Giovanni Mpetshi Perricard (123e). Le Français de 20 ans, habitué à jouer sur le circuit secondaire, réalise un début de saison intéressant. Classé au-delà de la 200e place mondiale au début de l’année, Mpetshi Perricard s’est déjà adjugé trois titres, tous en Challenger (Nottingham, Morelos, Acapulco). Inscrit cette semaine du côté de Challenger 175 de Bordeaux, où il a passé le premier tour en s’imposant face à son compatriote Constant Lestienne (7-6, 6-2), le Français est revenu sur le choix fait par le Grand Chelem parisien. Alors qu’il continue à se rapprocher du top 100 mondial, le joueur de 2m02 a expliqué qu’il ignorait s’il méritait ce privilège : “Je sais pas si je l’ai mérité, c’est pas moi qui fais les choix. Je suis sur le terrain pour jouer, pour gagner des matchs, des tournois. C’est la fédération, c’est la direction du tournoi qui font les choix et qui m’ont choisi. Maintenant, j’ai qu’une seule chose à faire, c’est les remercier.” Questionné sur ses objectifs à court terme, il explique se sentir capable de performer du côté de la Porte d’Auteuil : “Maintenant, je dois me concentrer. J’ai Bordeaux, peut-être la semaine prochaine Lyon, et à Roland Garros, je vais donner le maximum. L’année dernière, je suis passé pas loin de gagner la première fois à Roland Garros. C’était un match douloureux qui m’est longtemps resté dans la tête. Mais cette année, je me sens beaucoup mieux, je vais mieux jouer à Roland Garros.”
A Rome, Zverev marque les esprits : “Je suis très content de ce que je montre” Depuis le début de la saison sur ocre, Alexander Zverev déçoit. Gravement blessé à la cheville en 2022, il a connu un retour en puissance assez extraordinaire depuis. 5e mondial cette semaine, il pourrait même monter à la 4e place en cas de sacre en Italie. Arrivé à Rome avec des résultats récents plutôt moyens (3 victoires en 6 matchs sur ocre, aucune victoire sur un membre du top 40), l’Allemand semble sur le point de se relancer. Au Foro Italico, le joueur de 27 ans a enchaîné 4 jolies victoires, le tout sans concéder le moindre set et en ne se faisant breaker qu’une seule fois. Vainqueur de Vukic (6-0, 6-4), Darderi (7-6, 6-2) puis Borges (6-2, 7-5), il a surtout parfaitement muselé un Fritz pourtant très en forme (6-4, 6-3). Ce mercredi soir, le droitier allemand a ainsi délivré une copie quasi parfaite pour mater un Américain impuissant (0 balle de break concédée, 78 % de premier service, 20 coups gagnants, 4 fautes directes). Questionné sur cette belle victoire, il n’a pas boudé son plaisir, revenant notamment sur sa qualité de service : “Je suis très heureux, j'ai joué un match très solide. Je suis content d'avoir battu un adversaire aussi fort que Taylor. [...] Un bon service c’est aussi une façon de pouvoir prendre plus de risques dans le jeu et notamment en fond de court. Pour moi, c’est le coup le plus important pour un joueur de tennis moderne” Tout aurait été parfait si le natif d’Hambourg n’avait pas chuté en début de match. Se faisant très peur, il a tout de même semblé légèrement touché à l’avant-bras-droit et à l'auriculaire droit. Si cet incident ne l’a pas empêché de dérouler son tennis, Sacha se veut prudent : “Le doigt n'est pas parfaitement droit et il est un peu abîmé, nous verrons ce qu'il en est. Je vais discuter avec l'équipe de ce qui convient de faire. Nous verrons si c'est cassé, je ne sais pas pour l'instant.” Pour une place en finale, celui qui s’est déjà imposé à Rome en 2017 défiera la sensation de ce tournoi : Alejandro Tabilo. Le Chilien, déjà tombeur de Djokovic et Khachanov n'a peur de rien. Questionné sur ce match, le 5e mondial se sait favori : “Je ne l'ai pas beaucoup vu jouer ici, à part les deux tie-breaks contre Khachanov. Il joue un tennis très agressif et prend du temps à ses adversaires. Mais bon, je suis quand même très content de ce que je montre.”
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malti 1 malti 12PTS
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Marion S. 4 Marion S. 10PTS
Bibilolo 5 Bibilolo 10PTS
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